Les
élèves de français ont utilisé un bagage
linguistique qu’ils connaissaient déjà pour réaliser
ce travail: savoir se présenter, les noms des pays, les nationalités,
parler des professions, un bon nombre d’adjectifs, poser des
questions, la négation, le présent, le passé
composé etc....Ils ont aussi porté à contribution
ce qu’ils ont appris cette année: l’impératif,
le futur, l’imparfait…
On a travaillé l’hétérogéneité
primordialement à travers le vocabulaire. Ainsi les élèves
de 3ème d’ESO, ou les plus faibles de 4ème ont
utilisé les camps sémantiques les plus faciles et
les structures les plus simples.
La traduction, l’élaboration de phrases les plus complexes,
la recherche d’information sur internet, etc... a été
un travail réalisé par les élèves plus
forts.
Dans un projet de ce genre, on doit essayer de chercher une place
pour chaque élève. Il y avait des élèves
qui étaient plus doués avec l’ordinateur, d’autres
pour écrire, d’autres avec les images...
En général quand on commençait une activité
on expliquait d’abord le but, l’objectif et après
on cherchait à faire une approche fondamentalement communicative.
De toute façon, je crois qu’on a fait et appris beaucoup
de choses peu tangibles. Partager la possibilité de pouvoir
participer à un voyage, la solidarité...Rarement les
élèves disent: ”Eva, j’ai déjà
fini, est-ce que je peux faire autre chose?” Des projets de
ce genre avec à la fin un petit rêve comme cadeau si
on a bien travaillé nous a bien motivé.
On a utilisé toutes les ressources technologiques dont notre
centre dispose : vidéo, scanner, internet, ...
Je dois avouer que moi aussi j'ai appris de mes élèves
surtout en ce qui concerne les nouvelles technologies qu’ils
utilisent d’une façon si familière.
À
la
fin de chaque activité une explication de la démarche
suivie, des resources utilisées, du traitement de la diversité
ont été données.
Évaluation
Les élèves
auront deux notes :
Une pour le
travail individuel
Une pour le travail d'équipe
